Parler des commerces. L'étonnement s'y trouve aussi. Et plus souvent qu'ailleurs si le regard biaise. Chez Froiz, moyenne surface, on ne trouve pas de plats préparés micro ondables. Au mini market 2 rua Dr José Joaquim de Almeida, il n'y a pas de soupe en boîte. J'ai pourtant besoin de Soupapon pour épauler Chauffageon. Soupapon chauffe le dedans et Chauffageon le dehors. Quant au sucre, on le cherchera vainement en morceaux. C'est en sachets qu'il y est, comme dans les bars au bas mot dix fois plus nombreux qu'en France. En revanche, tous les magasins alimentaires proposent de la morue en tranches confortables... Mais je n'ai jamais trop aimé la morue, ce plat de réfectoire pour adolescents désabusés.
Sinon, les petites échoppes sont partout, certaines logeraient dans ma poche qui n'est pas plus idéale que mon paletot. On trouve des réparateurs en petit électro-ménager (electrodoméstico), des merceries pour le fil, la laine et les boutons dorés, des drogueries, des quincailleries, des mini kiosques à journaux où la tenancière âgée pourrait suffoquer. La grande distribution n'a pas encore fait son ménage dans le centre de Porto et je m'en réjouis.
Quant aux boulangeries (padaras), c'est curieux, le pain y abonde moins que les gâteaux. Des espaces longs et étroits comme des couloirs ou vastes comme des salles à manger y accueillent la clientèle pour un café accompagné d'une pâtisserie fort crémeuse.
Les librairies enfin. J'en ai déjà vu quatre ou cinq alors qu'à Barcelone il faut travailler sérieusement du mollet pour en découvrir une seule et souvent pitoyable. De plus, les éditeurs portugais publient sous d'élégantes couvertures de l'excellente littérature. Actuellement, Paul Auster est présent dans toutes les vitrines. Mais aucune ne vaut celle de Lello bien sûr.
Dans un prochain article, je vous parlerai des prix et vous comprendrez pourquoi des retraités français choisissent de vivre au Portugal.
image portugalexportfood
Quant aux boulangeries (padaras), c'est curieux, le pain y abonde moins que les gâteaux. Des espaces longs et étroits comme des couloirs ou vastes comme des salles à manger y accueillent la clientèle pour un café accompagné d'une pâtisserie fort crémeuse.
Les librairies enfin. J'en ai déjà vu quatre ou cinq alors qu'à Barcelone il faut travailler sérieusement du mollet pour en découvrir une seule et souvent pitoyable. De plus, les éditeurs portugais publient sous d'élégantes couvertures de l'excellente littérature. Actuellement, Paul Auster est présent dans toutes les vitrines. Mais aucune ne vaut celle de Lello bien sûr.
Dans un prochain article, je vous parlerai des prix et vous comprendrez pourquoi des retraités français choisissent de vivre au Portugal.
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