(article publié en différé pour cause de problème informatique)
Finalement, baragouiner l’anglais
s’avère utile à Porto. Ce matin, ni téléphone ni internet. Boîtier wifi plus
muet qu’un sphinx. Panique à bord.
Réfléchir. Se rendre dans la boutique NOS la plus proche et tâcher de se faire
comprendre. On appelle pour moi The Porto concierge et tout est réglé en deux
heures. Le boîtier avait dû glisser et s’était déconnecté…
Cet après-midi, après avoir mangé de
succulents mini flans meilleurs encore que ceux de Chez Elise cours Portal à
Bordeaux, je fais des courses chez Froiz. J’achète du lait à l’emblème de la
tulipe, des soupes, du PQ, des boîtes de je ne sais quoi micro-ondables, des
Pim’s, du Caprice des Dieux, du jus d’orange, du chocolat noir Jubileu, des
fruits secs cent pour cent naturels qu’ils disent, poire et ananas et une
bouteille de vin : Cabeça de burro, vinho tinto, 2013.
L’étiquette montre la culture de la
vigne en terrasse le long du Douro. Du vin qui baigne dans l’or, donc. Je vous
dirai.
Sinon, à presque mi séjour, je tiens
à dire aux deux personnes, un assez vieux monsieur et une toute jeune fille,
qu’elles se trompent en affirmant qu’on parle français à Porto. Faux de chez
faux. La pratique de l’espagnol n’est pas répandue non plus.
Demain, après avoir fait chou blanc et
trois kilomètres à pied hier, c’est beaucoup pour un chou fût-il blanc, je
retourne au Jardim do palácio de cristal pour visiter la
Galeria municipal Almeida Garrett qui sera enfin ouverte. Mais en bus.
image igogo.pt
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